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Pour l’histoire : huit premiers chênes sur 1 000 nécessaires vont être abattus dans la forêt de Bercé située dans la Sarthe pour reconstruire la flèche de la cathédrale Notre-Dame de Paris détruite lors de l'incendie d’avril 2019. Le vendredi 5 mars dernier, les architectes en chef des monuments historiques ont fait leurs premiers choix accompagnés de deux ministres, Roselyne Bachelot à la Culture, Julien Denormandie à l'Agriculture et du directeur général de l'Office National des Forêts (ONF) Bertrand Munch. Identifiés depuis janvier, les chênes retenus sont âgés de 230 ans, mesurent un mètre de diamètre et 20 mètres de haut. Ils devraient être abattus d'ici à la fin du mois de mars avant leur montée en sève, ils seront ensuite entreposés entre 12 et 18 mois pour atteindre un taux d'humidité de moins de 30% avant d'être mis à la disposition des charpentiers.

Si l'abattage de ces vieux arbres fait débat, il est nécessaire pour la restauration à l'identique approuvée par le président de la République en juillet 2020.

Exploitation des forêts et plantations : deux objectifs majeurs La filière bois alimente l’activité de transformation, un secteur très concurrentiel dans la région (ameublement, construction, bois-énergie), aussi un plan de soutien a été lancé afin d’accompagner les entreprises ligériennes dans leur mutation industrielle.

Depuis 2016, 1 400 hectares ont déjà été reboisés représentant plus d’un million d’arbres mis en terre, deux millions de plantations vont suivre d’ici 2024. Si l’exploitation industrielle enrichie le tissu économique, n’oublions que les arbres ont pour rôles principaux d’être les premiers capteurs de CO2 et les gardiens de notre biodiversité.

Rappelons que l’objectif 2050 de l’Union Européenne d’atteindre la neutralité carbone sera impossible sans la forêt.

Des initiatives engagées et localisées : la Sarthe est le département le plus boisé de la région (21 % de sa surface couverte par les forêts) et le Département poursuit son plan de développement en lançant un nouveau projet baptisé « 10 000 arbres pour demain » avec la plantation d’arbres en bord des routes départementales. La région de son côté à enrôlé 51 communes incitant chaque famille qui donne naissance à un enfant à planter un arbre dans la commune et de le parrainer en lui donnant le prénom de l’enfant. Au total, ce sont 10 000 arbres qui ont ainsi déjà été plantés en Pays de la Loire.

Et la forêt pour nos clients ?

Par l’intermédiaire de notre partenaire France Valley qui détient des forêts dans les Pays de La Loire, nous proposons d’investir dans les forêts grâce à des Groupements Fonciers Forestiers. Ce type d’investissement a de nombreux avantages :

  • 18 % de réduction de l’impôt sur le revenu 2021,
  • exonération totale de l’Impôt sur la Fortune Immobilière,
  • 75 % d’abattement sur les droits de mutation en cas de décès,
  • diversification de l’épargne,
  • décorrélation des marchés financiers,
  • revalorisation du placement.

Pour tout renseignement complémentaire, contactez un conseiller.

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AVERTISSEMENT : Avant tout investissement dans les fonds présentés dans le document, il est fortement conseillé à tout investisseur, de procéder, sans se fonder exclusivement sur les informations fournies dans ce document, à l’analyse de sa situation personnelle ainsi qu’à l’analyse des avantages et des risques afin de déterminer le montant qu’il est raisonnable d’investir.

Les principaux risques d'un GFI

Risque de liquidité : la liquidité des pars d’un groupement forestier n’est pas garantie, tant s’agissant du temps nécessaire à la liquidité que du prix de cession

Risque de perte en capital : le capital investi peut ne pas être intégralement restitué

Risque naturel : le risque phytosanitaire qui pèse sur les forêts n’est pas couvert pas les assurances de la société de gestion (contrairement aux risques d’incendie et tempêtes)