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-Newsletter du 05/06/2020-

Nous souhaitons vous proposer une nouvelle diversification de placement : la forêt. La forêt permet de déconnecter son épargne des marchés boursiers et immobiliers avec des avantages fiscaux à la clé.

Investissez dans un Groupement Forestier et mettez votre épargne au vert

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À l'heure de l'épargne "responsable" et "durable", voici un placement qui fera respirer le grand air à votre argent : la forêt.
S'il est possible d'acheter en direct un bois ou une petite forêt, il existe pour les investisseurs et épargnants une solution bien plus simple : les Groupements forestiers (GF).
 
Découvrez ci-après tous les avantages :
 
La diversification
Ces groupements permettent à partir de 1000 euros, d'accéder à un patrimoine forestier largement diversifié en termes d'essences, de zones géographiques et de maturité de la forêt
 
Des feuillus, des résineux, des jeunes forêts, des bois moyens, du gros bois : l'investisseur dans un GF peut réaliser un panachage impossible à mener individuellement, sauf à disposer d'une très grande fortune.
 
Cette diversification permet aussi de réduire les risques : si une violente tempête survient, tous les massifs ne seront pas touchés en même temps même si une maladie phytosanitaire touche une région. Le passage par un groupement permet aussi de déléguer la gestion des bois à des professionnels, qui détermineront les zones à couper, celles à replanter et qui choisiront les essences les mieux adaptées.
 
Un placement de sécurité
Le rendement est aujourd'hui comparable à celui de bien d'autres placements sécuritaires, comme celui de l'assurance-vie en euros, par exemple. 
 
Il faut également compter sur une valorisation du prix de la part, calquée sur l'évolution de la valeur des forêts en portefeuille. Il n'est donc pas déraisonnable de viser une performance totale de 2,5% par an. Selon la Société Forestière de la Caisse Des Dépôts, les prix en vingt ans ont quasiment été multipliés par deux en vingt ans, avec des hausses plus importantes pour les forêts les plus demandées. L'augmentation est en grande partie liée à la hausse significative du prix du bois du fait de l'augmentation du nombres de constructions en bois et l'utilisation de bois de chauffage qui vient renforcer la demande. Le bois est une filière d'avenir.
 
Les investisseurs institutionnels sont de plus en plus nombreux à s'y intéresser, car elle améliore leur bilan carbone : une forêt exploitée capte 7 tonnes de CO2 à l'hectare, contre 4 seulement si elle est laissée en jachère.
 
Un rendement boosté par des exonérations d'impôts
Si le rendement est limité, il ne faut pas oublier d'y ajouter les avantages fiscaux. Le rendement d’un investissement en bois et forêts ne subit pas de pressions fiscales.
 
L'investissement donne droit à une réduction d'impôt de 18% (dans la limite de 50 000 euros investis pour une personne seule, le double pour un couple) et il permet de décrocher d'importants avantages successoraux lors de la transmission, en effet 75% de la valeur des forêts est exonérée. Il peut aussi permettre de baisser le montant de l'IFI, car le même pourcentage de la somme investie donne droit à une réduction. 

Le bois : un actif décorrélé de l'évolution des marchés financiers
Un autre avantage réside dans la décorrélation entre les prix de la forêt et les marchés financiers, ce qui permet de stabiliser la valeur du patrimoine en cas de crise. Cet actif peut donc s’inscrire en diversification au sein d’une approche patrimoniale globale.
 
Le bois, un investissement plus liquide qu’on ne le pense
L'inconvénient que l'on reproche à un investissement en forêt est son manque de liquidité : il est vrai qu'il faut toujours analyser en amont d'un investissement les capacités de sortie, mais l'investissement dans un Groupement Forestier se fait dans une logique de diversification (5 à 7% maximum de son patrimoine) et dans une logique de long terme
 
Une filière bois qui se porte bien en France
Ce secteur réalise dans son ensemble un chiffre d'affaires de 60 milliards d'euros pour une surface boisée de 16 millions d'hectares. En France, nous disposons de la 1ère forêt de feuillus d'Europe, de la 3ème de résineux et se classe 4ème producteur européen de bois avec un chiffre d'affaires de la filière bois qui représente 23 milliards d'euros.
 

Les principaux risques d'un GFI

Risque de liquidité : la liquidité des pars d’un groupement forestier n’est pas garantie, tant s’agissant du temps nécessaire à la liquidité que du prix de cession

Risque de perte en capital : le capital investi peut ne pas être intégralement restitué

Risque naturel : le risque phytosanitaire qui pèse sur les forêts n’est pas couvert pas les assurances de la société de gestion (contrairement aux risques d’incendie et tempêtes)

 

Pour tout renseignement complémentaire, contactez un conseiller.

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